Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (18)



La fin de semaine approche, nous sommes en chemin dans ma mini Anne et moi.

• Peux-tu m’accompagner rue Thérèse ce soir ?

Elle veut me présenter Martine, la responsable du club.
Elle l'a appelé dans la semaine au téléphone comme lors de sa visite avec Alain et Odile, elle avait promis de le faire.

Nous avons parlé de toi. Elle souhaite te rencontrer. Je lui ai dit que nous pourrions venir samedi soir.
J’ai demandé à Véronique de nous accompagner ainsi qu’Alain et Odile. Tous ont des engagements et ne peuvent venir.
Par compte, Véronique m’a donné sa clef et nous pourrons nous préparer chez elle et y finir la nuit. Elle est absente pour la nuit.

• D’accord trésor, je serais fier de t’accompagner, nous allons, nous éclater et finir en beauté le dernier jour de mon année de catherinette.

La journée du samedi coule comme d’habitude rapidement vu la charge de travail.
Lorsque le soir, nous quittons toutes nos amies et prenons la direction de chez Véronique.

Arrivé devant ma boutique préférée, j’ouvre la porte, je dis à Anne de choisir une tenue pour aller à sa soirée. Je métrais moi-même ma seconde peau achetée la veille.

Le patron nous voit enter.

• Tient mesdames, un goût de revenez-y ?
• Mon amie a besoin de choisir une tenue coquine. Vous pouvez lui faire voir ce que vous avez, je garde la porte et la boutique.

L’homme pensait certainement qu’il allait pouvoir me baiser de nouveau.
Et ben non, je veux être en pleine forme pour ce soir.
Un quart d’heure, une demi-heure presque trois quarts d’heure, enfin ils ressortent de la salle.
Il a une mine réjouie. Anne a choisi un ensemble guêpière.
Au moment où je souhaite payer, il nous dit.

• Aujourd’hui, ces cadeaux, vous l’avez bien mérité, revenez quand vous voulez.

Nous sortons, je prends ma poupée par le bras et lui demande de venir, il va falloir que tu m’explique ce que tu as fait avec cet homme, tu es une vraie salope….

Mais j’ajoute « et j’aime ça. »
Arrivée dans l’appartement, je lui mets la laisse, ma laisse pour Anne. Je lui passe le mousqueton et lui dit de me déshabiller et elle aussi.

• Viens dans le salon sur le canapé, tu vas m’expliquer tes turpitudes avec cet homme. Tu mérites que je te donne une bonne fessée sur ton petit cul tout rose.

Je l’allonge sur mes genoux et sans attendre je lui administre une fessée qui va lui rosir les fesses pour toute la soirée.

• Oui, punie moi, j’ai été une méchante fille, il y a longtemps que j’espérais que tu dépasses tes tabous et que tu me donnes la fessée que je mérite simplement par les pensées, cochonne qui me travers l’esprit toute la journée lorsque je pense à toi.
Et tu sais, je pense à toi tout le temps, tu es devenu mon obsession tellement, je t’aime.
Continue, je vais jouir, passe ta main sur ma chatte, je suis trempée.

Ce petit bout de femme est étonnant, une simple fessée même bien appliquée et elle jouit à la limite de l’orgasme.
Je finis par avoir mal à la main alors qu’elle se sert de la fessée pour donner du plaisir à son corps.
Elle se love dans mes bras.

• Merci pour cette fessée qui me rappelle ma jeunesse avec maman.
Dans notre pays la fessée fait parti de l’éducation sexuelle des filles car si ici je suis attaché à toi une femme, chez nous les plaisirs saphique son mal vu, par contre nos maris nous fessent régulièrement aussi nos mères nous enseigne l’art de la recevoir et profité des moindres frottement sur mon clitoris lorsque j’étais allongé sur tes genoux pour jouir.
Ma sœur est plus douée que moi, car elle arrive elle à avoir un orgasme.

• Tu seras toujours plus forte que moi ma poupée d’amour. Allez, raconte-moi l’homme du sex-shop.
• Lorsque je suis entrée dans la pièce où les tenues nous attendaient, l’homme qui me suivait a mis sa main sous ma jupe.
• Tiens, toi aussi tu évites d’avoir une culotte afin d’être toujours prête.


Tu es comme ta copine, tu as le feu au cul.
J’étais contente qu’il me mette au même rang que toi maîtresse.
Avant que j’aie eu le temps de comprendre, il m’a poussé jusqu’à une table, m’a retourné et assis dessus.
Ma courte jupe est remontée laissant ma chatte à sa merci. Il a sorti son sexe.

• Comment était-il ?
• Gros, grand et bien bandé.
• C’est bien continu, c’est bien le même que j’ai eu en moi.
• Il m'a enfilé jusqu’au plus profond de ma vulve. J’ai cru que tu avais entendu le cri de plaisir que j’ai poussé.

Comme si le fait de m’enfiler la chatte lui était insuffisant, il est sorti, m’a saisi pour me retourner et enculé aussi rapidement qu’il avait baisé ma vulve.
Mon amour, j’ai joui du cul, ma rosette s’est enflammée de plaisir d’un seul coup. Au bout d’un long temps de pilonnage, j’ai senti qu’il allait décharger. Dans un souffle je lui ai dit de venir dans ma bouche. Il m’a tout donné.
Tiens prend ma bouche, je suis sûr que si tu la lèches profondément, tu vas en retrouver des traces.

Elle relève la tête et nous nous embrassons longuement.

• Non, tu es une méchante fille, il est impossible que je te pardonne. Les vilaines petites filles n’ont pas le droit de me faire cocu sans mon accord.
Tu as mérité une deuxième fesser mon amour tu es une vicieuse fille.

Je n’ai pas le temps de réagir, Anne pivote et remet sa chatte sur mes genoux.

• Tu as raison maîtresse, punie moi !

À aucun moment je veux par jeux la frapper, elle serait encore capable de réussir à avoir un orgasme.
Je lève ma main et la fais retomber en finissant par une caresse sur son joli postérieur.
Je la caresse deux trois fois et insinue trois doigts dans son vagin.
Comme me l'a apprise Frédérique lors de notre dernière rencontre, je lui explique que tout autour de sa vulve, elle a des petites terminaisons nerveuses qu’elle est capable de faire réagir en les commandant avec son cerveau.


• Comme ça ?

Et ho! Surprise sa chatte se met à masturber mes doigts deux fois plus fortement que l’a faite Frédérique.
Je suis stupéfaite, il faut qu’elle s’explique.
Dans son pays, les mères font très top l’initiation à leur fille.
Sa maman leur a appris à sa sœur jumelle et à elle les massages corporels mais aussi tous ce que peut faire une femme pour donner du plaisir à son mari, la fesser en fait parti.

• De très bonne heure, j’ai donc appris à me servir de mon corps en attendant le jour où un mari viendrait demander à mes parents de le rejoindre dans sa couche.
Le jour où j’ai été dépucelé par celui qui m’a donné ma fille, sa bite est entrée en moi sans aucune douleur.
J’ai eu le doute que les pratiques enseignées par ma maman afin d’apprendre à faire plaisir à l’homme ont déchiré mon hymen.

• Attends, viens dans la chambre.

Je sors de mon sac un des godes achetés au sex-shop l’autre jour mais pas encore essayé. Je m’allonge sur le lit et m’enfonce la réplique de sexe dans la chatte.
J’ai volontairement choisi le plus gros. Je pense que plus mes parois vaginales seront tendues, plus je pourrais faire fonctionner mes terminaisons.
La bitte bien au fond de ma vulve, je me concentre, j’arrive seulement à ouvrir et à fermer la bouche.
Anne se met à rire.

• Fiche-toi de moi, je vais y arriver.

Elle me donne un petit conseil et j’arrive à sentir un mouvement dans ma vulve comme j’avais senti un léger mouvement avec Frédérique.
Je continue un certain temps et j’arrive de plus en plus à faire manœuvrer mes muscles vaginaux.
Fatigué j’arrête et nous partons dans la salle de bain nous préparer pour aller rejoindre une certaine Martine.

Revêtu de nos tenus sexy, moi ma seconde peau et Anne sa guêpière, ses bas résille et portes jarretelles le tout couvert par un imperméable afin d’éviter les émeutes dans le quartier malgré l’heure avancée.

Nous sortons de l’immeuble de Véronique.
J’ai eu soin d’attacher sa laisse, pour le moment caché sous l’impaire.
Par sécurité, j’ai commandé un taxi qui nous conduit rue des tilleuls et qui viendra nous reprendre pour le retour sur un coup de fil et nous déposera juste devant notre porte. Il nous arrête devant l’établissement et attend que l’on soit entré pour repartir.
Avant d’entrer, j’enlève son imper à la petite et reprends sa laisse en main.
Anne sonne, un vigile ouvre et nous laisse entrer.
De suite, une dame s’avance vers nous, je comprends mieux pourquoi mon bouton d’or a choisi une guêpière noire, elle est aussi en guêpière mais rouge. Cette femme est magnifique, son maintien et son port de tête, le tout perché sur des talons aiguilles qu’une minorité de femmes est capable de porter la mettant en valeur.
Heureusement que je tiens la laisse de ma petite. Cette magnifique femelle constate que ma biche et moi sommes liés par un lien indestructible.
Elle nous embrasse et nous emmène vers la salle où un bar est à notre disposition.
Notre entré moi en cuire, et Anne, en guêpière tenue par une laisse, provoque un mouvement de surprise autour du bar !
Martine nous présente, quelques clients la plupart sont nus.
Elle nous entraîne dans une salle où le plateau tournant en son centre est occupé par une dame qui se fait honorer par trois hommes. Elle nous regarde passer avec un désir de s’occuper de nous dès qu’elle le pourra.
Martine nous entraîne vers un boudoir.
Anne m’avait parlé de Martine avec des yeux enflammés après son passage ici avec Odile et Serge et avant qu’elle me la présente, je savais que c’était elle.
Anne prend son mousqueton, l’enlève de son collier, l’attache à mon anneau et lui donne la laisse.

• En venant ce soir, je voulais que tu connaisses ma maîtresse que j’aime et qui m’aime.
Je te préviens même si j’aime ce que tu m’as fait l’autre soir, je serais toujours son esclave.
Dans l'après-midi lorsque nous sommes allées acheter ma guêpière pour te faire honneur, le gérant du sexe chop m’a besogné par-devant et par-derrière.
Mon amie est restée sans plaisir, je te la donne pour que tu lui procures bien du plaisir. Tu verras, elle aime les fruits de mer, c’est une très bonne avaleuse de moules…

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